mardi 31 juillet 2007

Si la connerie était sport olympique

Denis Tillinac serait médaille d'or. En effet, ce cuistre a commis dans Libération un article intitulé :

OUI, LE SPORT EST FONCIÈREMENT DE «DROITE»

Comme en politique, il faut vaincre l’adversaire sans pitié. Car seule la victoire compte.

Ce pseudo-penseur réduit ici le sport à sa seule dimension médiatique et financière : l'industrie du sport. Cela ne nous étonnera pas de la part de ce genre d'individu mais il ignore complètement tout l'aspect «activité physique» (un esprit sain dans un corps sain), ainsi que sa portée purement ludique [1].

Rappelons qu'en sport, il n'y a pas que la victoire qui compte : il y a aussi des règles à suivre, une éthique à respecter, et qu'on peut se contenter de participer loyalement. Chose qu'ont généralement tendance à oublier les idéologues du capitalisme sans limite (sauf quand ça les sert bien sûr).


La vision du sport qu'ont Tillinac et la droite (et donc les médias qui mentent), c'est le culte du champion, du héros, tout pour le gagnant et rien pour les autres. Tillinac aime cette «merveilleuse injustice» : «Aux uns la grâce qui hisse le surdoué dans le ciel étoilé de la légende; aux autres le néant», dit-il.

Cette sacralisation de la performance associée au mépris du moins bon est précisément le pire aspect du sport, celui qui se pratique à W, l'île imaginaire de George Perec (qui ressemble finalement un peu à une société ultra-libérale quand on y pense).

«Vaincre l’adversaire sans pitié», rechercher la victoire à tout prix, réussir peu importe la méthode... ça ne vous rappelle rien ? En fait, comme le remarquent pertinement plusieurs lecteurs de libération :
C'est le DOPAGE qui est FONCIÈREMENT DE DROITE.

Gagner par tous les moyens...
On se souvient que les supporters de Sarkozy considéraient que s'il avait un peu magouillé avec son appartement de l'île de la Jatte, c'est qu'il sait faire des affaires et tant mieux pour lui (!) [2]. On a aussi beaucoup pu lire à propos des infirmières et du médecin bulgares qu'il était presque scandaleux de critiquer la méthode Sarkozy (pourtant décriée ailleurs dans le Monde) car après tout seul le résultat compte, ils ont été libérés, c'est l'essentiel, au diable la morale.

En toute logique, ces gens devraient aussi soutenir Vinokourov qui a su trouver un moyen pour remporter deux étapes du Tour de France, même si ces moyens (une transfusion de sang) étaient illégaux. Ils devraient se battre pour Rasmussen, exclu du Tour alors qu'il en était le maillot jaune, mais qui n'a pas respecté les règles anti-dopage et a échappé à quelques contrôles inopinés (allons donc, c'est juste qu'il est malin). Après tout, Richard Virenque est resté très populaire, même après qu'il s'est fait chopper (et il a soutenu Chirac puis Sarkozy)...

Le sport dérèglementé (comme le marché), libéralisé (comme l'économie), où tout est permis pour triompher car seule la victoire importe, le sport du dopage et de la triche, oui, celui-là est de droite.

Dans un sport de gauche, un sport libéré des médias, de la compétition et du capitalisme, le moteur ne sera plus l'argent, la célébrité mais l'envie de se dépenser, de se dépasser ou juste de passer un bon moment. Il n'y aura plus d'ennemis
à haïr et à écraser, mais des partenaires avec qui s'amuser.



[1] il faudrait d'ailleurs qu'il nous explique où il trouve un «
adversaire à vaincre sans pitié» dans la pratique courante de l'escalade, par exemple.

[2] Curieusement ils ne sont pas aussi tolérants avec les fumeurs de shit, les rmistes et les fonctionnaires en grève.

samedi 28 juillet 2007

Nous sommes tous des exploiteurs

C'est la triste vérité que révèle le livre "Un an sans Made in China" dont nous parle rue89. Une journaliste américaine a essayé de vivre un an sans rien acheter de fabriqué en Chine. C'est mission impossible.

Exemple : les chaussures de tennis de son fils qui ne coûtent que 15 dollars dans leur version chinoise, mais dont l'alternative italienne, la seule qu'elle ait trouvée après quinze jours de recherches, lui est revenue à 68 dollars. Et sur certains produits, il n'y a pas d'alternative au made in china, même en y mettant le prix.

Et vous-même, cher lecteur, quel pourcentage des vêtements que vous portez aujourd'hui est fabriqué en Asie dans des ateliers suffoquants par des ouvriers sous-payés ? Votre ordinateur est-il produit de façon équitable ?

Non bien sûr, nous sommes enfermés dans un système qui nous oblige à cautionner ses excès, à être complices des pires aspects de la mondialisation.

C'est une aubaine pour ses défenseurs hystériques. Ils peuvent ainsi nous accuser d'être à la fois contre la mondialisation et d'en profiter [1] en parallèle, oubliant hypocritement que nul choix ne nous est laissé.


Ceci ne nous condamne cependant pas à l'impuissance ni à la résignation.


Il est certain que des solutions fondées sur l'action individuelle et le changement personnel de style de vie sont vouées à l'échec et ne peuvent clairement avoir un impact significatif sur ce problème, puisque ils laisserait l'individu se battre seul contre une mécanique aveugle et implacable. Au mieux, cela permet à l'individu en question d'éviter de sombrer dans la schizophrénie à cause de la contradiction entre sa vie et ses valeurs, mais ça ne fait pas avancer le schmilblick.

La solution est un changement au niveau de la société, imposé par un mouvement populaire, qui bouleverserait le système économique pour le remplacer par un système plus juste et équitable, où personne ne gagnerait qu'à peine de quoi survivre pendant que d'autres plastronneraient dans leur A380 privé.


PS : Ceci dit, en attendant le changement, baisser sa consommation personnelle de produits inutiles (mais hypes) ne fait pas de mal.


[1] Mais peut-on dire qu'une mère célibataire se retrouvant au RMI suite à la délocalisation de son usine, profite de la mondialisation parce que les pâtes sont moins chère ?

jeudi 26 juillet 2007

Histoire belge

Le Monde nous l'apprend : une fillette de 11 ans, ainsi qu'une dizaine d'autres enfants, sont enfermés en Belgique dans un "centre fermé", un lieu où sont incarcérés des immigrés clandestins en attente d'expulsion. En effet, ces criminels en culottes courtes sont sans-papiers, c'est dire s'ils menancent la stabilité du royaume.

Le président équatorien en personne est allé en Belgique pour demander la libération de ses ressortissantes (la fille en question et sa mère). Son appel a reçu une fin de non-recevoir : "Nous ne nous laissons pas influencer par l'avis d'un chef d'Etat étranger", a indiqué le patron de l'Office des étrangers, qui dépend du ministère de l'intérieur (le Brice Hortefeux d'outre Quiévain en quelque sorte).

Ah, si seulement les équatoriens avaient élu Sarkozy ! Dans la foulée des infirmières et du médecin bulgare, lui il aurait délivré ces sans-papiers injustement incacérés ! Ou pas...


PS: Mise à jour 31/7: Lisez les commentaires, il semblerait qu'Anne Malherbe soit au moins aussi forte que Cécilia Sarkozy (que son nom soit sanctifié par 3 fois)...

mardi 24 juillet 2007

Travail Über Alles

La déification et le culte du travail est quelque chose de très rigolo à lire sous la plume des capitalistes et de la droite. Car s'ils font beaucoup de morale tonitruante dans leur déclarations, leur hypocrisie ressort très vite, à peine jette-t-on un coup d'oeil distrait à leur actions.

Par exemple, leurs premières lois n'ont pas été en faveur du travail et des travailleurs, mais ont visé à enrichir un peu plus ceux dont les revenus dépendent du capital (et ne doivent donc rien à leur travail).

En bons héritiers de l'ancien régime, ils ne s'estiment pas non plus contraints personnellement par cette morale du travail, valeur suprême de l'individu.


Faisons un petit calcul amusant :

  • Selon le monde : Christine Lagarde était
«Prête, "pour aider la France", à renoncer à ses 800 000 dollars (600 000 euros) de participation annuelle aux résultats de la firme.»
  • En 2004, le salaire mensuel médian était de 1484€ (disons pour 35h/semaine).

Si l'on considère que les 600.000€ de Lagarde étaient son seul revenu (peu probable), elle gagnait donc 33 fois le salaire médian.

C'est-à-dire que même si son travail était 7 fois plus difficile et pénible que celui d'un français payé à 1484€ (soit un salaire égal ou supérieur à celui de la moitié des français), elle aurait dû travailler 7/7j, 24/24h sans jamais manger ni dormir pour pouvoir justifier de ce revenu.

En lui accordant un travail 3 fois plus dur que la normale et pendant 70 heures par semaines (peu crédible la aussi), elle aurait dû ne gagner que dans les 100.000€. C'est à dire qu'elle a eu un bonus injustifiable de 500.000€ par an.

Cet argent n'est bien sûr pas apparu par magie mais est le résultat du travail de personnes, souvent peu rémunérées, qui ont dû travailler plus pour gagner moins.

Pour bien montrer ce que cela donne concrètement, si on généralise à tous ce facteur 6 entre revenu du travail et détournement de fond, et en prenant pour base 35h de travail hebdomadaire, on obtient à salaire égal une durée de travail de 6h par personne et par semaine.

Soit 3 heures à peine de plus que la durée revendiqué par Lafargue (Paul) au XIXème siècle et qui a tant choqué Lagarde (Catherine) lors de son discours à l'Assemblée.


Réfléchissez-y bien : avec les mêmes pratiques que tous ces beaux moralistes avocats de la peine à la tâche, vous pourriez ne travailler au plus qu'un petit jour par semaine...


Mais que tous ces hypocrites se rassurent, en cas de révolution, et si leurs têtes échappent aux piques et à la guillotine, ils ne se retrouveront pas à la rue, démunis et sans toit. Une place bien chaude les attend.

Au Goulag.


lundi 23 juillet 2007

VLG Vacances

Salut les petits amis !

Pour ne pas perdre la main jusqu'à la rentrée, le politburo vous propose un petit devoir de vacances.


Commentez donc les trois billets suivants du monolecte et dites nous ce que vous pensez des enc sodomi fils de futurs GM du goulag ; ainsi que de leur acharnement à retourner aux lois sociales du XIXème siècle, le tout bien sûr au nom du droit inaliénable de l'homme à acheter sans répits les plus inutiles merdes.

Comme le politburo n'est pas chien, il vous suggère une ressource bibliographique pour vos travaux : les dessins de Babouse postés ce 23/7 sur nietweb.com (cliquez sur "Niet !" dans le Komintern").


A bientôt sur les plages !

jeudi 19 juillet 2007

The land of the free

KKK's not dead.

mardi 17 juillet 2007

Émigration choisie

Le ministère de l'immigration et de l'identité nationale fabrique des orphelins à la pelle ! Vous souvenez-vous de ces 23 maliens virés d'un petit village breton, dont l'un deux laissait une compagne enceinte ? Eh bien l'histoire se répête : une bretonne de 26 ans, enceinte de 7 mois 1/2, a vu son fiancé partir en centre de rétention samedi dernier après qu'un arrêté de reconduite à la frontière a été pris par le préfet jeudi contre ce malien sans papier mais avec travail (source, via rezo.net).


Répétons ça calmement :
  • Une jeune femme,
  • enceinte,
  • va perdre son fiancé,
  • qui va être expulsé à l'autre bout du monde,
  • alors qu'il dispose d'un travail ici.

Présenté comme ça, c'est ignoble, n'est-ce pas ?

C'est parce que ça l'est vraiment.

On se croirait dans une dictature tropicale... Mais non, c'est bien la France d'aujourd'hui, celle de Nicolas Sarkozy et Brice Hortefeux, celle pour laquelle ont voté 53% de nos compatriotes. Celle qui se vante d'être «ouverte à la diversité» et de «faire preuve d'humanisme».

C'est tout simplement à gerber.

La concurrence, c'est le bonheur...

...Et pourtant, d'après l'UFC Que Choisir, le consommateur s'est fait sodomiser à sec et avec du verre pilé par la libéralisation du marché des renseignements téléphoniques. On s'en était un peu rendu compte, notez...

Lisez cet article du monde qui reprend leur communiqué, c'est tout simplement accablant pour la concurrence libre et non faussée : explosion des prix, dégradation du service...

Après tout, il faut bien que quelqu'un paie les dizaines de millions d'euros investis dans la publicité par ces boites : ce quelqu'un, c'est vous, c'est l'usager devenu client ! Ça s'appelle l'efficacité du secteur privé par rapport au secteur public forcément gaspilleur et inefficace...

Citons juste les meilleurs extraits de l'article mentioné ci-dessus :
Depuis novembre 2005, les tarifs des principaux numéros en 118 [...] ont augmenté à sept reprises, "alors que tous les opérateurs avaient promis de modérer et de stabiliser leurs prix", rappelle le communiqué.
L'UFC-Que Choisir [...] appelle les consommateurs à se tourner vers le 12, c'est-à-dire le 118 711, soigneusement maintenu dans l'ombre des campagnes publicitaires".

Le politburo de Vive Le Goulag vous encourage à faire connaître à vos amis que le 12 existe encore au même tarif qu'avant au 118 711, et à boycotter soigneusement tous les autres.

Ajoutons qu'on apprend ici qu'un opérateur gratuit (ou presque) a failli voir le jour, mais que les autres ont trouvé que c'était pas du jeu et l'ont assigné en référé pour "fait de concurrence déloyale, publicité mensongère, et pour violation de l'interdiction des prix abusivement bas pour son service de renseignement téléphonique (...) qui désor- -ganise le marché". N'est-ce pas savoureux ?

Après l'exemple des bus de Manchester et celui de l'énergie, celui des renseignements téléphonique nous conforte dans l'idée que la concurrence est incompatible avec le concept même de service, et dans notre détermination d'enfermer au goulag ses partisans.

lundi 16 juillet 2007

Immigration non choisie



  • GRZYWACZ : Juif polonais, 2 attentats
  • ELEK : Juif hongrois, 5 déraillements
  • WASJBROT : Juif polonais, 1 attentat, 1 déraillement
  • WITCHITZ : Juif polonais, 15 attentats
  • FINGERCWAJG : Juif polonais, 3 attentats, 5 déraillements
  • BOCZOV : Juif hongrois, chef dérailleur, 20 attentats
  • FONTANOT : Communiste italien, 12 attentats
  • ALFONSO : Espagnol rouge, 2 attentats
  • RAYMAN : Juif polonais, 13 attentats
  • MANOUCHIAN : Arménien, chef de bande, 56 attentats, 150 morts, 600 blessés
Ne pas oublier non plus Olga Bancic, décapitée le 10 mai 44.

VLG Litterature 3 : Le Dernier jour d'un Condamné

Puisque l'actualité s'y prête, profitons de l'éxecution prévue demain d'un noir américain qui clame son innocence pour recommander à nos lecteurs "Le Dernier Jour d'un Condamné", de Victor Hugo Chavez. Mieux que la lettre de Guy Môquet à sa petite maman chérie, cet ouvrage devrait être obligatoire au cours de la scolarité. Et pour ceux qui ont la flemme de lire des gros livres, ou pour ceux qui aiment la bande dessinée, précipitez-vous sur l'adaptation en BD de cette oeuvre majeure dans la collection ex-libris, par Stanislas Gros :


Soyons francs, c'est une brillante réussite. Le dessin sert à merveille le texte puissant. En nous mettant dans la tête d'un condamné à mort, l'auteur nous fait bien ressentir l'absurdité et la cruauté de la peine capitale, et aussi la vilénie des braves gens qui vocifèrent. On est plongé dedans dès la première planche, et on retient son souffle jusqu'à la dernière case. Le cadeau idéal à faire pour les vacances à votre beauf Kévin qui trouve que quand même, les violeurs d'enfants, il faudrait leur couper la tête pour qu'ils y réfléchissent à deux fois la prochaine fois.

vendredi 13 juillet 2007

Décomplexé !

«Maintenant que je suis président, je peux tripoter des jeunes filles super facilement !»

(source : www.liberaton.fr : Sarkozy décore Maud Fontenoy)

mardi 10 juillet 2007

Tuez-les tous...

...Dieu reconnaîtra les siens.
(sauf s'il existe pas)


Les guerres de religion ont encore de beaux jours devant elles. En effet, le Vatican publie aujourd'hui un document qui affirme que, comme le reblochon ne peut être produit qu'en Haute-Savoie, l'appellation Église d'origine contrôlée doit être réservée à l'Église catholique, puisque les autres ont tout faux. Cette thèse avait déjà été émise par l'actuel pape alors qu'il était évèque sous Jean-Paul II. Ça devrait provoquer quelques remous et conforter la réputation de joyeux drille de Benito XVI. (source: lemonde.fr)

Ce brave homme a aussi récemment réhabilité la messe en latin, et le missel de Jean XXIII qui va avec. Ce missel contient une prière pour les juifs en ces termes : "Que le Seigneur notre Dieu lève le voile de leurs coeurs et leur permette de reconnaître Jésus-Christ." Bizarrement, ils ont mal pris qu'on leur dise qu'ils ont de la merde dans les yeux...

Quant aux protestants, parce qu'ils croient au "sacerdoce universel" et que leur conception de l'Eucharistie n'est "ni authentique, ni intégrale" d'après le Vatican, leurs Eglises ne sont que des "communautés ecclésiales" au mieux. Ça ne devrait pas leur plaire non plus d'être considérés comme des guignols dans l'erreur, des canada-dry de chrétiens.

Mais SS (Sa Sainteté) ne va pas assez loin. Il ne suffit pas retirer à ces imposteurs l'appellation d'Église. Il serait judicieux de massacrer quelques hugenots, parce qu'on ne va pas se laisser emmerder par des hérétiques qui ont rompu avec la "succession apostolique". C'est que ces chiens d'infidèles prétendent avoir une foi normale alors qu'ils pensent différemment ! C'est inacceptable. Rappelons que "catholique" signifie etymologiquement "universel", tandis que "orthodoxe" vient de "dans le droit chemin" (et "protestant" veut dire "faut pas pousser Mémé dans le bénitier"). Dans la mesure où leurs croyances reposent sur un acte de foi, chaque camp ayant décidé une bonne foi(s) pour toute qu'il détenait LA Vérité, tout dialogue entre ces branches est aussi impossible que, mettons, entre CSP et une strausskahnienne (lire par exemple la fin de ce texte publié sur un blog au goût sûr).
Vivement la Saint Barthélémy...

Bref, la religion, c'est comme les médias, c'est la misère de l'humanité.


Et en plus, Dieu n'est même pas solvable ! Lire cette réjouissante histoire rapportée par libération : Un Roumain débouté de sa plainte contre Dieu.

dimanche 8 juillet 2007

lundi 2 juillet 2007

Démocratie publicitaire

Selon Lauren Turner, chargée de compte pour la régie publicitaire de Google dédiée à la santé,

« la publicité est un moyen très démocratique et efficace de participer au dialogue public, pour l’industrie médicale comme pour M. Moore ».

Au politburo, on adore toujours la vision de la démocratie que peuvent avoir les capitalistes et les publicitaires.