"My nie chcemy ratować życia. Żaden z nas żywy z tego nie wyjdzie. My chcemy ratować ludzką godność " (Nous ne voulons pas sauver notre vie. Personne ne sortira vivant d'ici. Nous voulons sauver la dignité humaine) Arie Wilner (pseudo Jurek), soldat de la ŻOB. Je ne connaissais pas cette photo. Elle est aussi belle que celle du petit garçon, les bras levés et que l'on voit dans tous les livres d'histoire. Merci de nous rappeler ces moments où les hommes ont dit non.
Très belles paroles d'Arie Wilner. Hélas, aucune leçon n'a été tirée de ces atrocités commmises sur des populations innocentes. Et quand les hommes et les femmes disent non, ils et elles signent leur arrêt de mort. C'est bien de rappeler ces indignités commises au nom d'une idéologie abjecte et grâce à la veulerie (voire la complicité) d'une majorité silencieuse.
Là, l'arrêt de mort était signé, quoi qu'il en soit. Mais autant mourir les armes à la main qu'à l'abattoir. Images du ghetto à opposer à celles que faisait Zucca du Paris sous l'Occupation où les Parisiens déambulent tranquilles, sont assis , souriants ,à des terrasses, le coeur léger sous les croix gammées. Collabore, c'est comme ça que tu sauveras ta peau, ça a l'air de dire , cette expo. Valable pour tous les régimes, finalement.
Aux Antillais qui ont collaboré pour sauver leur peau, quand on écorche Aimé césaire :
L’après 1998 D’abord les salauds, vous leur avez proposé une commémoration venue d’en haut D’abord les Chamoiseau on vanté la fierté de l’homme noir voyez les chansons : je suis fier, fier, d’être neg marron un beau jour, j’aurai ma Fe rra ri ! D’abord les salauds, vous avez fait monter le racisme public anti-blanc vous l’avez programmé vous avez trouvé quelques collabos cupides pour faire le boulot, “des gueules de flics, des gueules de vaches, des larbins de l’ordre, des hannetons de l’espèrance, des mauvais gris-gris, des punaises de moinillons” ( Aimé Césaire) En final de compte, vous avez exploité le marché du racisme, vous avez nourris la jeunesse antillaise de fantasmes Après vous avez légitimé la racisme anti-noir des blancs par le racisme anti-blanc des noirs Vous êtes trop cons les salauds Mais la jeunesse en France sait Garde ta presse, sale France ta presse pourrie, ton panthéon de merde Comment Aimé césaire leur aurait parlé à ces Antillais là, à ceux qui ont vendu leurs frères de race sur le marché du racisme Comme CSP l’a fait ici : http://comite-de-salut-public.blogspot.com/2008/04/comme-les-copains.html et je te le lis Antillais pervers ce billet, toi qui a bien compris, toi qui sait, toi qui voulait ta Ferrari. Antillais UMP, oui, tu peux crever
Né le 18 décembre 1878, je suis une formation en lettre jusqu'en 1899.
Après quelques années supplémentaires d'études en politique appliqué, je me lance vraiment en 1904.
Accédant aux plus hautes fonctions en 1929, j'en pars le 5 mars 1953.
10 commentaires:
"My nie chcemy ratować życia. Żaden z nas żywy z tego nie wyjdzie. My chcemy ratować ludzką godność "
(Nous ne voulons pas sauver notre vie. Personne ne sortira vivant d'ici. Nous voulons sauver la dignité humaine)
Arie Wilner (pseudo Jurek), soldat de la ŻOB.
Je ne connaissais pas cette photo. Elle est aussi belle que celle du petit garçon, les bras levés et que l'on voit dans tous les livres d'histoire.
Merci de nous rappeler ces moments où les hommes ont dit non.
Très belles paroles d'Arie Wilner.
Hélas, aucune leçon n'a été tirée de ces atrocités commmises sur des populations innocentes.
Et quand les hommes et les femmes disent non, ils et elles signent leur arrêt de mort.
C'est bien de rappeler ces indignités commises au nom d'une idéologie abjecte et grâce à la veulerie (voire la complicité) d'une majorité silencieuse.
Là, l'arrêt de mort était signé, quoi qu'il en soit. Mais autant mourir les armes à la main qu'à l'abattoir.
Images du ghetto à opposer à celles que faisait Zucca du Paris sous l'Occupation où les Parisiens déambulent tranquilles, sont assis , souriants ,à des terrasses, le coeur léger sous les croix gammées.
Collabore, c'est comme ça que tu sauveras ta peau, ça a l'air de dire , cette expo. Valable pour tous les régimes, finalement.
Aux Antillais qui ont collaboré pour sauver leur peau, quand on écorche Aimé césaire :
L’après 1998
D’abord les salauds, vous leur avez proposé une commémoration venue d’en haut
D’abord les Chamoiseau on vanté la fierté de l’homme noir
voyez les chansons :
je suis fier, fier, d’être neg marron
un beau jour, j’aurai ma
Fe
rra
ri !
D’abord les salauds, vous avez fait monter le racisme public anti-blanc
vous l’avez programmé
vous avez trouvé quelques collabos cupides pour faire le boulot, “des gueules de flics, des gueules de vaches, des larbins de l’ordre, des hannetons de l’espèrance, des mauvais gris-gris, des punaises de moinillons” ( Aimé Césaire)
En final de compte, vous avez exploité le marché du racisme, vous avez nourris la jeunesse antillaise de fantasmes
Après vous avez légitimé la racisme anti-noir des blancs par le racisme anti-blanc des noirs
Vous êtes trop cons les salauds
Mais la jeunesse en France sait
Garde ta presse, sale France
ta presse pourrie, ton panthéon de merde
Comment Aimé césaire leur aurait parlé à ces Antillais là, à ceux qui ont vendu leurs frères de race sur le marché du racisme
Comme CSP l’a fait ici :
http://comite-de-salut-public.blogspot.com/2008/04/comme-les-copains.html
et je te le lis Antillais pervers ce billet, toi qui a bien compris, toi qui sait, toi qui voulait ta Ferrari. Antillais UMP, oui, tu peux crever
et toi Ernest Pépin, je t'encule !
"Hélas, aucune leçon n'a été tirée de ces atrocités commmises sur des populations innocentes"
je suis tellement d'accord !
et j'arrive pas à comprendre comment on peut appeler son blog, vive le goulag, et s'apitoyer dans la foulée sur cette photo.
Quelle différence ?
à anonyme :
pas vive le goulag
mais
Vive le goulag !
tout est dans le ton
le ton l'emporte
le ton, c'est l'éclairage qui ouvre un regard sur une ombre
comme une voie subite
un surgissement de pensée
à toi qui semble exprimer la quintessence du bon sens,
je dis que tu penses en rond.
Garde donc tes idées reçues moinillon
triste, triste triste et pathétique clone
"pas vive le goulag
mais
Vive le goulag !
tout est dans le ton
le ton l'emporte
le ton, c'est l'éclairage qui ouvre un regard sur une ombre
comme une voie subite
un surgissement de pensée"
A donf les netmas!
Tout le pouvoir aux conseils matriarcaux!
à birahima2
tu réponds par une pirouette, donc tu ne réponds pas.
Insiste anonyme
Pose ta question à VLG directement pour voir
C'est tout répondu, anonyme. T'as rien compris, c'est tout.
Relis un coup, peut-être.
Quoique...
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