Hey, mais Manchette écrivait dans Charlie Mensuel... Je vais revenir plus souvent sur ce joli blogue, je pense. Manchette, écrivain indispensable, rappelons-le. Vive le goulag. Vive le roman noir (le vrai, pas les sociaux-traîtres déninksien ou vargassesques).
Bien sûr qu'un patron c'est indispensable! L'ouvrier, lui, il va fabriquer quelques-uns de ses produits, juste pour vivre un certain temps. Il va vendre sa production à bas prix à quelques pingouins du quartier, il va donner un peu de flouze à Bobonne pour la pitance quotidienne et il va aller boire le reste avec les copains au troquet du coin. Est-ce qu'un ouvrier, ça lui viendrait à l'idée de travailler plus pour produire plus et pour embaucher des potes dans la mouise? HEIN? Alors que le patron, lui, il fait tout ça en pensant à améliorer le quotidien de sa rue, que dis-je du quartier, que dis-je de la ville. Que dis-je, DE LA PLANETE. Pourquoi croit-on chez les Trotskystes atrabilaires et revanchards (pléonasme) que le patron, il va donner du boulot aux plus pauvres des pays pauvres?
Par humanisme, évidemment! Il voit bien que l'ouvrier, ici, même s'il n'a pas de boulot, il vit bien. Il touche plein de sous et, en plus, il a plus de temps pour voir ses potes. Un patron aujourd'hui, c'est l'"Internationale Sociale". Voilà, pourquoi c'est utile, un patron. Et n'essayez pas de me convaincre du contraire. Mon opinion est inébranlable. Comme celle du patron.
Absolument rien à voir avec les commentaires, mais dans la barre de lien à droite il y a écrit "Social traîtres". Alors soit on écrit "social traître", soit "sociaux traîtres" quand ils sont plusieurs...
merci à maître Capello d'être toujours aussi vigilant, à son âge, sur la forme. On va peut-être arriver à alphabétiser les foules, si on s'y met un peu tous. A la troisième incartade du Politburo, c'est le goulag pour un mois. Minimum. Qu'on se le dise!
A emcee plus haut : ué, finalement tu nous a convaincu, les patrons sont beaux, les patrons sont bons. On va renommer ce blog "Vive Les Patrons !" et transformer le politburo en comité d'actionnaires.
Eh bien voilà! Enfin des propos sensés. Y a pas de raison qu'on soit une minorité à se tromper quand tous les autres ont juste, pas vrai? Rentrons dans le rang et rendons grâce aux patrons de nous donner notre pain quotidien tous les jours (non, Capello, pas sur la tête! pas sur la tête ...aieuh!).
tas de minables ! sans les patrons le pays irait à sa perte ! bon le mieux c'est qu'il aille à sa perte mais avec les patrons, comme ça on peut serrer la vis sur les salaires des employés et augmenter ceux des patrons ! pratique :)
Né le 18 décembre 1878, je suis une formation en lettre jusqu'en 1899.
Après quelques années supplémentaires d'études en politique appliqué, je me lance vraiment en 1904.
Accédant aux plus hautes fonctions en 1929, j'en pars le 5 mars 1953.
10 commentaires:
L'an 01 : indispensable.
Oui l'an 01, indispensable à lire ou à voir d'urgence.
Enfin sauf pour CSP, il risque la crise cardiaque.
Hey, mais Manchette écrivait dans Charlie Mensuel... Je vais revenir plus souvent sur ce joli blogue, je pense.
Manchette, écrivain indispensable, rappelons-le.
Vive le goulag.
Vive le roman noir (le vrai, pas les sociaux-traîtres déninksien ou vargassesques).
Bien sûr qu'un patron c'est indispensable!
L'ouvrier, lui, il va fabriquer quelques-uns de ses produits, juste pour vivre un certain temps. Il va vendre sa production à bas prix à quelques pingouins du quartier, il va donner un peu de flouze à Bobonne pour la pitance quotidienne et il va aller boire le reste avec les copains au troquet du coin.
Est-ce qu'un ouvrier, ça lui viendrait à l'idée de travailler plus pour produire plus et pour embaucher des potes dans la mouise? HEIN?
Alors que le patron, lui, il fait tout ça en pensant à améliorer le quotidien de sa rue, que dis-je du quartier, que dis-je de la ville. Que dis-je, DE LA PLANETE.
Pourquoi croit-on chez les Trotskystes atrabilaires et revanchards (pléonasme) que le patron, il va donner du boulot aux plus pauvres des pays pauvres?
Par humanisme, évidemment! Il voit bien que l'ouvrier, ici, même s'il n'a pas de boulot, il vit bien. Il touche plein de sous et, en plus, il a plus de temps pour voir ses potes.
Un patron aujourd'hui, c'est l'"Internationale Sociale".
Voilà, pourquoi c'est utile, un patron.
Et n'essayez pas de me convaincre du contraire. Mon opinion est inébranlable.
Comme celle du patron.
Absolument rien à voir avec les commentaires, mais dans la barre de lien à droite il y a écrit "Social traîtres". Alors soit on écrit "social traître", soit "sociaux traîtres" quand ils sont plusieurs...
merci à maître Capello d'être toujours aussi vigilant, à son âge, sur la forme.
On va peut-être arriver à alphabétiser les foules, si on s'y met un peu tous.
A la troisième incartade du Politburo, c'est le goulag pour un mois. Minimum.
Qu'on se le dise!
Au maitre capello anonyme : merci (même si social-traitres est largement utilisé)
A Emcee : des menaces de Goulag ? Ici ? Et pour nous ? Je sens que tu vas avoir un petite visite amicale de camarades tchékistes dans pas longtemps.
A emcee plus haut : ué, finalement tu nous a convaincu, les patrons sont beaux, les patrons sont bons. On va renommer ce blog "Vive Les Patrons !" et transformer le politburo en comité d'actionnaires.
Eh bien voilà!
Enfin des propos sensés. Y a pas de raison qu'on soit une minorité à se tromper quand tous les autres ont juste, pas vrai?
Rentrons dans le rang et rendons grâce aux patrons de nous donner notre pain quotidien tous les jours (non, Capello, pas sur la tête! pas sur la tête ...aieuh!).
tas de minables ! sans les patrons le pays irait à sa perte ! bon le mieux c'est qu'il aille à sa perte mais avec les patrons, comme ça on peut serrer la vis sur les salaires des employés et augmenter ceux des patrons ! pratique :)
vive le medef merde
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