vendredi 8 février 2008

Sarkozy à la lanterne !

C'est le titre d'une brève du nouvelobs.com, selon laquelle Sarko et Clara, comme il convient de les appeler, «se sont promenés dimanche 3 février après-midi dans les allées des jardins de la Lanterne, la résidence dévolue au chef de l'Etat à Versailles.»

C'est super intéressant, hein ?

C'est surtout un bon titre !



Tant qu'on est à parler de la su(cce)sseuse (de Bernadette et Cécilia), on voudrait lui rappeler une phrase mémorable de son nouveau mari (qui l'avait reprise du vieux Jean-Marie) :
« Si certains n'aiment pas France, qu’ils ne se gênent pas pour la quitter»
(22 avril 2006, meeting de l'UMP)

Or, la deuxième première dame du quinquennat a déclaré au Daily Mail que les français étaient «miserable» (en anglais dans le texte), toujours de mauvaise humeur alors que les italiens sont toujours de bonne humeur, et que Paris était «insupportablement polluée». Comme Sarko se vante de faire ce qu'il dit et de dire ce qu'il fait, il va logiquement nous renvoyer cette italienne (elle se vante d'avoir un passeport italien et pas français) dans son pays, et manu militari encore bien !

5 commentaires:

Anonyme a dit…

La Lanterne? Ca tombe bien, non? Ils n'ont qu'à s'y pendre. Et s'ils veulent de l'aide ...
De plus, si je ne m'abuse (et je m'y refuse), c'est bien la résidence que le guignol a piquée au Preum's pour en faire sa résidence secondaire perso, non? Trop belle pour lui.
Et puis, Brégançon, il l'a refilé à sa marmaille.
Personne ne doit avoir mieux que lui, puisqu'il est président. C'est pas un signe de maladitude, ça?
Alors, tu dis "S'ils n'aiment pas la France, qu'ils la quittent".
Evidemment, dans ce contexte précis, ça colle pile poil.
Quand on s'acharne à démolir un pays comme ils le font, surtout lui, qui s'attaque à toute son essence, on se demande ce qu'ils y fichent encore.
On pourrait commencer par les envoyer à Varennes?
Dans cette affaire, une autre citation me vient à l'esprit:"L'amour c'est regarder ensemble dans la même direction".
Oui. Le miroir.

vlg a dit…

Tout-à-fait emcee, les aristocrates à la lanterne (y compris M. et Mme de Nagy-Bosca) !

Ou alors, ils peuvent quitter la France et son peuple si détestable (accroché à ses acquis sociaux et à des idées de solidarité), et fuir à Varennes, ouais. Cette fois, on ne les retiendra peut-être pas...

Anonyme a dit…

Les retenir? MOI, oui, je les retiens, ceux-là!
Tu réalises que si on envoie tous les aristos à la Lanterne, le gouv. va être complètement décimé? Et encore, y en a pas mal qui sont partis dans la charrette de Chirac. A un moment on aurait cru que le gouvernement avait doublé. De Robien, de Villepin, de Charrette.... euh ... mais combien vous êtes?
Mais on pourrait aussi piocher parmi les "orturiers", non? j'en ai au moins deux (que je vois là, tout de suite) dans le collimateur grave.
La fête serait plus belle, je trouve.

vlg a dit…

Puisque tu parles de Charrette... on est d'accord.
Pour un roturier auquel tu penses, vu son prénom, on peut soupçonner qu'il est "de Nice" donc il subira le même sort que les aristos à particule, faut pas faire de jaloux. Et merci olivox pour cette synthèse.

Anonyme a dit…

Encore des doublés.
Exact, il y a celui qui vole (ça tombe bien, il est dans le bon gouvernement) et l'autre B. celui qui envoie les autres en l'air.
Deux des féroces écuyers du roi.
Le dernier, pétri de certitudes, finirait écartelé, les deux autres, bien ficelés et piqués d'ail (d'aïe), plongés dans une marmite - avec du persil, tout de même - on n'est pas des sauvages.
Allez, sur ces bonnes paroles, bonne journée.