Et oui, camarades, le politburo a décidé de fermer les portes de Vive Le Goulag.
VLG aura donc duré 2 belles et bonnes années, et le politburo n'en regrette pas une seule seconde.
Ce fut enrichissant d'échanger des idées, infos et analyses via ce blog avec des gens intéressants qu'on n'a jamais vus en vrai.
C'était un réel soulagement que d'avoir un endroit où vomir à la face du monde à quel point nous sommes exaspérés par la politique de ce gouvernement, ulcérés par les politiques de toutes les droites mondiales (celles officielles, et celles qui se font appeler gauche), déprimés par l'état du monde et par la catastrophe écologique en cours, enragés par les attaques victorieuses contre tous les droits sociaux si chèrement gagnés au cours des décennies précédentes, horrifiés par la paranoïa raciste-sécuritaire croissante, et déchainés contre la racine de tout ce mal, le système capitaliste.
Combien nous haïssons avec nos tripes tous les acteurs de cette ignominie et leurs valets serviles !
Les grands patrons et les syndicalistes jaunes, les gouvernants et les médias du PPA à leurs bottes, les lobbies libéraux et les députés complaisants, le ministère de l'immigration et de l'identité nationale et les flics zélés...
Ce fut jouissif de pouvoir rêver, ne serait-ce qu'un instant, à l'idée de faire gouter au goulag ceux qui le méritent tant.
Un jour viendra...
Cependant, saturés par ces émotions, pressés par la vraie vie qui nous laisse moins de temps pour écrire des choses intelligentes et pertinentes, lassés de constater chaque jour l'impuissance de notre rage et de notre indignation épistolaire face aux coups de boutoir de la droite la plus réactionnaire, les membres du politburo ont décidé de mettre fin à l'aventure.
Mais ne pleurez pas, on vous laisse entre de bonnes mains, que ce soit dans celles de nos liens à droite (mais de gauche), ou dans celle de leurs liens à eux...
Et puis, bon, on reviendra sûrement sous une forme ou sous une autre.
Merci de nous avoir lus en tout cas, et à bientôt dans la rue !
Un dernier conseil pour finir : surtout n'oubliez jamais, Dieu pardonne, pas le prolétariat.
VLG aura donc duré 2 belles et bonnes années, et le politburo n'en regrette pas une seule seconde.
Ce fut enrichissant d'échanger des idées, infos et analyses via ce blog avec des gens intéressants qu'on n'a jamais vus en vrai.
C'était un réel soulagement que d'avoir un endroit où vomir à la face du monde à quel point nous sommes exaspérés par la politique de ce gouvernement, ulcérés par les politiques de toutes les droites mondiales (celles officielles, et celles qui se font appeler gauche), déprimés par l'état du monde et par la catastrophe écologique en cours, enragés par les attaques victorieuses contre tous les droits sociaux si chèrement gagnés au cours des décennies précédentes, horrifiés par la paranoïa raciste-sécuritaire croissante, et déchainés contre la racine de tout ce mal, le système capitaliste.
Combien nous haïssons avec nos tripes tous les acteurs de cette ignominie et leurs valets serviles !
Les grands patrons et les syndicalistes jaunes, les gouvernants et les médias du PPA à leurs bottes, les lobbies libéraux et les députés complaisants, le ministère de l'immigration et de l'identité nationale et les flics zélés...
Ce fut jouissif de pouvoir rêver, ne serait-ce qu'un instant, à l'idée de faire gouter au goulag ceux qui le méritent tant.
Un jour viendra...
Cependant, saturés par ces émotions, pressés par la vraie vie qui nous laisse moins de temps pour écrire des choses intelligentes et pertinentes, lassés de constater chaque jour l'impuissance de notre rage et de notre indignation épistolaire face aux coups de boutoir de la droite la plus réactionnaire, les membres du politburo ont décidé de mettre fin à l'aventure.
Mais ne pleurez pas, on vous laisse entre de bonnes mains, que ce soit dans celles de nos liens à droite (mais de gauche), ou dans celle de leurs liens à eux...
Et puis, bon, on reviendra sûrement sous une forme ou sous une autre.
Merci de nous avoir lus en tout cas, et à bientôt dans la rue !
Le politburo.
Un dernier conseil pour finir : surtout n'oubliez jamais, Dieu pardonne, pas le prolétariat.