Un court billet en forme de post-scriptum du précédent.
le réseau2 pointe un lien vers le site d'El Burlador, lequel a analysé la chanson Alors Regarde, de Bruel.
Son oreille acérée et son esprit vif n'ont pas manqué de distinguer les vils accents d'un hymne sioniste. Pour ceux, qui comme le politburo, ne veulent pas se taper l'écoute de Bruel, voici les paroles de la chanson :
Le sommeil veut pad'moi, tu rêves depuis longtemps.
Sur la télé la neige a envahi l'écran.
J'ai vu des hommes qui courent, une terre qui recule
Des appels au secours, des enfants qu'on bouscule.
Tu dis qu'c'est pas mon rôle de parler de tout ça
Qu'avant d'prendre la parole il faut aller là-bas.
Tu dis qu'c'est trop facile, tu dis qu'ça sert à rien
Mais c't'encore plus facile de ne parler de rien.
Alors regarde, regarde un peu
Je vais pas me taire parce que t'as mal aux yeux.
Alors regarde, regarde un peu
Tu verras tout c'qu'on peut faire si on est deux.
Perdue dans tes nuances, la conscience au repos
Pendant qu'le monde avance, tu trouves pas bien tes mots.
T'hésites entre tout dire et un drôle de silence.
T'as du mal à partir, alors tu joues l'innocence.
Alors regarde, regarde un peu
Je vais pas me taire parce que t'as mal aux yeux.
Alors regarde, regarde un peu
Tu verras tout c'qu'on peut faire si on est deux.
Dans ma tête une musique vient plaquer ses images
Sur des rythmes d'Afrique mais j'vois pas l'paysage
Encore des hommes au courent, une terre qui recule
Des appels au secours des enfants qu'on bouscule
Alors regarde, regarde un peu
Je vais pas me taire parce que t'as mal aux yeux.
Alors regarde, regarde un peu
Tu verras tout c'qu'on peut faire si on est deux.
Alors regarde, regarde un peu
Je vais pas me taire parce que t'as mal aux yeux.
Alors regarde, regarde un peu
Tu verras tout c'qu'on peut faire si on est deux.
Effectivement, la propagande du projet sioniste saute carrément au yeux. C'est à peine si c'est pas un appel au génocide des palestiniens.
Mais comme vous n'avez pas l'oeil d'El Burlador ou celui du politburo, vous ne voyez peut être pas. L'auteur du billet le souligne d'ailleurs, il faut lire "entre les lignes"
Soulignons donc en gras les passages pertinents des 2 premières strophes :
Le sommeil veut pas d'moi, tu rêves depuis longtemps.
Sur la télé la neige a envahi l'écran.
J'ai vu des hommes qui courent, une terre qui recule
Des appels au secours, des enfants qu'on bouscule.
Tu dis qu'c'est pas mon rôle de parler de tout ça
Qu'avant d'prendre la parole il faut aller là-bas.
Tu dis qu'c'est trop facile, tu dis qu'ça sert à rien
Mais c't' encore plus facile de ne parler de rien.
Vous voyez ? si on colle les lettres surlignées, c'est écrit "
à mort la palestine". Si c'est pas une preuve ça...